Pour profiter de cette calme soirée de milieu de vacances, retour sur le scénario DBN de Valoutina-Gora (1812).
Non seulement il offre pas mal de variations possibles sur les déploiements et tactiques, mais il doit également servir de support à une prochaine initiation au Jeu d'Histoire pour des débutants, et il est préférable d'éviter les surprises. Toujours tester et retester le scénario, c'est plus sûr.
Le cadre est toujours le même : août 1812, les Français sont en train d'investir Smolensk abandonnée par les Russes, mais à l'est Ney et Junot rattrapent l'arrière-garde russe (qui s'était un peu perdue, ça peut arriver à tout le monde).
Combat d'arrière garde pour les Russes, qui doivent retenir les Français assez longtemps pour assurer le repli de leur train d'artillerie.
Innovation cette fois-ci, les Russes choisissent l'affrontement direct. Ils se placent au plus avant dans leur zone de déploiement, et font front face au corps de Ney en train d'entrer sur la table.
Non seulement il offre pas mal de variations possibles sur les déploiements et tactiques, mais il doit également servir de support à une prochaine initiation au Jeu d'Histoire pour des débutants, et il est préférable d'éviter les surprises. Toujours tester et retester le scénario, c'est plus sûr.
Le cadre est toujours le même : août 1812, les Français sont en train d'investir Smolensk abandonnée par les Russes, mais à l'est Ney et Junot rattrapent l'arrière-garde russe (qui s'était un peu perdue, ça peut arriver à tout le monde).
Combat d'arrière garde pour les Russes, qui doivent retenir les Français assez longtemps pour assurer le repli de leur train d'artillerie.
Innovation cette fois-ci, les Russes choisissent l'affrontement direct. Ils se placent au plus avant dans leur zone de déploiement, et font front face au corps de Ney en train d'entrer sur la table.
Les Russes se portent au devant des Français pour un choc "du fort au fort"...
...
et le résultat ne se fait pas attendre, la ligne russe s'effondre
devant les vétérans de la Grande Armée (qui en plus semblaient avoir
mangé du lion).
Pendant
qu'à l'est le corps de Baggovout réalise qu'il n'affrontait qu'une
petite partie du corps de Junot (venu aider Ney) et s'élance au combat
contre le rideau de troupes westphaliennes... bien, mais trop tard...
Une victoire nette et sans bavure pour les Français cette fois (face à des Russes débutants, il faut le dire).
Le choix tactique russe n'était pas prometteur : aller au choc en étant en infériorité numérique (et somme toute qualitative) n'est pas un gage d'avenir.
Mais l'une des qualités du jeu d'histoire est que l'on peut s'amuser en faisant des erreurs (et sans faire de mal à personne, voire même en faisant des heureux, en face).
Le choix tactique russe n'était pas prometteur : aller au choc en étant en infériorité numérique (et somme toute qualitative) n'est pas un gage d'avenir.
Mais l'une des qualités du jeu d'histoire est que l'on peut s'amuser en faisant des erreurs (et sans faire de mal à personne, voire même en faisant des heureux, en face).
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