Les treize colonies d'Amérique ont déclaré leur indépendance en
1776. Mais George III ne l'entend pas de cette oreille, et les renforts
britanniques affluent sur le nouveau continent. Les Insurgés cherchent
un appui à l'extérieur, en Europe.
C'est ainsi que Benjamin Franklin traverse l'Atlantique. La France rentre en guerre contre l'Angleterre le 6 février 1778. Les premiers combats se portent sur la mer.
C'est ainsi que Benjamin Franklin traverse l'Atlantique. La France rentre en guerre contre l'Angleterre le 6 février 1778. Les premiers combats se portent sur la mer.
L'Angleterre est déjà en guerre contre les Provinces-Unies, qui avaient l'audace de commercer avec les Insurgents. Opportunistes, les Anglais décident de saisir la colonie hollandaise du Cap, en Afrique Australe.
Côté Français, les instructions de Louis XVI étaient claires : "Le Roi, en laissant ses généraux les maîtres de déterminer les opérations qu'ils estimeront les plus utiles et les plus glorieuses à ses armes, leur prescrit d'attaquer les Anglais séparés ou réunis partout où il sera possible de le faire...".
Côté Français, les instructions de Louis XVI étaient claires : "Le Roi, en laissant ses généraux les maîtres de déterminer les opérations qu'ils estimeront les plus utiles et les plus glorieuses à ses armes, leur prescrit d'attaquer les Anglais séparés ou réunis partout où il sera possible de le faire...".
Pierre-André de Suffren quitte Brest avec 6 vaisseaux le 22 mars
1781, en compagnie de l'escadre de De Grasse destinée aux Antilles. Ils
se séparent au large du Portugal. Suffren continue vers le Cap de Bonne
Espérance, pour rallier ensuite l'Inde.
Arrivés aux îles du Cap-Vert pour y faire de l’eau, les Français découvrent fortuitement l’escadre anglaise du Commodore Johnstone en route pour Le Cap. Suffren n'hésite pas, et pénètre dans la baie pour foudroyer les vaisseaux ennemis.
Pour nous, il est temps de faire place au jeu.
Arrivés aux îles du Cap-Vert pour y faire de l’eau, les Français découvrent fortuitement l’escadre anglaise du Commodore Johnstone en route pour Le Cap. Suffren n'hésite pas, et pénètre dans la baie pour foudroyer les vaisseaux ennemis.
Pour nous, il est temps de faire place au jeu.
Comme dans la réalité, les vaisseaux de Suffren infligent de
nombreux dégâts aux Anglais qui répondent coup pour coup. Bataille
indécise, mais ayant un très grand impact stratégique : l’escadre
britannique mettra quinze jours à réparer, ce qui permet de renforcer la
place hollandaise du Cap.
Suffren continuera vers l'Inde. Les Anglais le surnomment déjà l'Amiral Satan.
Suffren continuera vers l'Inde. Les Anglais le surnomment déjà l'Amiral Satan.
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